Atelier de Musique à l’image
L’atelier de Musique à l’image permet de découvrir les coulisses du métier de compositeur·ices pour l’image animée.
Les élèves du Conservatoire participe ainsi à l’enregistrement de musiques de films créées par les étudiants de la classe de Musique à l’image du CNSMD de Lyon sous la direction artistique de Gilles Alonzo et Emmanuel Jarrousse.
À cette occasion seront recréées les conditions d’un enregistrement professionnel, de la captation , au montage et au mixage des musiques.
Ces compositions sont travaillées, enregistrées en “studiomoblile éphémère ” au Conservatoire de par des petits groupes d’élèves préprofessionnels sous la direction des professeurs et étudiants compositeurs de Lyon et de Clermont-Ferrand. Le travail de précision, d’exigence artistique extrême, pour un aboutissement de musique de film apporte aux élèves cette quette de perfection indispensable à leur progression personnelle sur leur chemin de réussite artistique.
Le travail d’enregistrement des musiciens dans le studio est filmé et le public peut assister en direct aux séances (sur grand écran) dans la partie régie du studio ainsi qu’à la synchronisation de la musique et de l’image. C’est une expérience inoubliable et une belle aventure humaine pour tous ces “acteurs”.
Tournage et Direction d’acteur·ice·s
Partenariat avec les élèves d’art dramatique pré-professionnels du Conservatoire (COP/CPES) et amateur·ice·s (COA) pour s’initier à l’art du cinéma.
Pour un comédien n’ayant pas (ou peu) d’expérience de la caméra, se retrouver sur un plateau de tournage n’est pas forcément chose aisée.
Il doit faire face à une organisation de travail, un environnement qu’il ne connaît pas. Il va vite se rendre compte qu’au sein du processus de création, sa place est beaucoup moins centrale que celle qu’il avait l’habitude d’occuper au théâtre.
Il va devoir adapter son jeu en mettant en œuvre des techniques propres au jeu pour la caméra, en intégrant notamment la présence de la caméra. Il devra également être capable de mobiliser et de gérer son énergie différemment de ce dont il a l’habitude de faire au théâtre, afin de pouvoir donner le meilleur de lui-même à l’instant T, c’est-à-dire quand la caméra tourne face à lui.
Il va devoir aussi appréhender et maitriser l’impact des contraintes techniques du plateau de tournage sur son jeu.
Pour cela, une compréhension du découpage et de la mise en scène ainsi qu’une connaissance minimum de la grammaire de l’image et de l’organisation d’un tournage lui seront indispensables. Ces compétences lui permettront de prendre en compte les aspects techniques du tournage (contraintes de cadre et de déplacement, nombre de prises limités…), non pas comme des obstacles à l’expression de son jeu, mais au contraire, comme des outils.
Les élèves pré-professionnels du Conservatoire réalisent un atelier d’initiation et de perfectionnement à l’art du Cinéma avec l’École Cantonal d’Art de Lausanne (ECAL).
Il s’agit, par la direction des élèves au jeu pour la caméra, d’acquérir des notions sur la construction dramatique et les multiples niveaux de contraste entre les personnages : entre le début et la fin d’une scène, entre le texte et le sous-texte, entre le texte et le contexte, et ce, afin d’accroître leur présence à l’image et l’intérêt du spectateur.
Les élèves de COA (Cycle à Orientation Amateur) préparent un tournage en collaboration avec Kourtrajmé (Paris) et L’École ARTFX (Montpellier).
Les objectifs pédagogiques sont d’identifier et de mettre en œuvre des techniques de jeu pour la caméra : gérer son engagement émotionnel et physique sur un plateau de tournage, intégrer les contraintes techniques d’un tournage dans son jeu face caméra, appliquer des consignes d’interprétation en conjuguant initiative et disponibilité.
Installé dans le Centre Blaise-Pascal, à Clermont-Ferrand, le Conservatoire Métropolitain à Rayonnement Régional Emmanuel-Chabrier accueille près de 1 600 élèves, à partir de 4 ans pour la Danse et 5 ans pour la Musique, et dispense un programme de formations artistiques complet, en musique, danse et théâtre.
Le conservatoire se compose de 6 studios de danse, plus une salle de théorie et 6 salles dans les annexes de la ville, mais aussi, 33 salles de cours de musique, une salle de Musique assistée par ordinateur (MAO), 7 salles de formation musicale, 3 salles de pratiques collectives, 2 salles de répétitions pour l’art dramatique, un auditorium, un atelier de couture et une médiathèque qui offre aux enseignants, élèves, parents d’élèves et partenaires la possibilité de consulter et d’emprunter des partitions, des livres, des disques, des revues, ou de découvrir des expositions d’œuvres.
Pour la 4e année, une petite équipe issue de l’école Kourtrajmé Montfermeil participe à cet atelier de tournage sur plateau, en direct et en public, qui associe les étudiants du Conservatoire d’art dramatique, de l’Ecole d’Architecture de Clermont, et d’autres formations encore. Pour le décor des toits de Paris proposé cette année, deux anciens étudiants Scénario, Marouane Ben Jaoued et Julien Bounkaï, ont écrit leur comédie décalée « Graffiti dans la nuit »: comment quatre apprentis graffeurs, en quête de reconnaissance, se disputent pour inaugurer un nouveau spot idéal, un grand mur tout fraichement repeint…
En 2018, le cinéaste Ladj Ly, prix du Jury à Cannes et César 2020 pour Les Misérables, lance une école de cinéma au cœur de sa cité des Bosquets à Montfermeil. Son ambition : ouvrir à tous une formation aux métiers de l’audiovisuel, gratuite et sans condition de diplôme. Issue du collectif Kourtrajmé, la structure offre interventions de professionnels, enseignement méthodique et suivi individualisé, en Scénario, Réalisation-Post prod, et Acting avec Ludivine Sagnier. Sa pédagogie accompagne la fabrication de courts métrages de fiction, et porte l’état d’esprit maison : motivation et créativité, bienveillance et exigence, dans une énergie collective revendiquée. Le trésor de l’école, ce sont ses étudiant-e-s, agés de 18 à 42 ans, venus des quartiers et d’ailleurs, et qui se sentent enfin autorisés à exprimer toute une diversité de genres ou d’enjeux… Dans le style Kourtrajmé : engagement social et ambition esthétique.
ENSACF : Le plateau de tournage, un enseignement dédié au cinéma en Master 1
Partenaire du festival depuis 20 ans, l’École Nationale Supérieure d’Architecture de Clermont-Ferrand propose un enseignement optionnel de Master 1 en liaison directe avec l’Atelier : le plateau de tournage.
Dans le cadre de cet enseignement, les étudiants ont en charge la conception et la fabrication du décor de l’Atelier durant la semaine du Festival.
Les futurs architectes ont ainsi la possibilité d’approfondir pendant un semestre leur formation en ouvrant leur champ de compétences sur les métiers du cinéma. L’enseignement articule apports théoriques (analyse filmique, esthétique et grammaire du cinéma, dépouillement de scénario…), outils du projet (conception spatiale, dessin, planification de chantier…), mise en œuvre et techniques de construction de décor (menuiserie, serrurerie, enduits et patines …), tout en collaborant activement avec les réalisateurs et les équipes de tournage dans les phases de préparation du tournage et d’exploitation du plateau (travail d’ensemblier et d’accessoiriste).
Coordination de l’Unité d’enseignement : Alexandre Cubizolles.
Équipe pédagogique : Alexandre Cubizolles, Gregory Hitier
L’École Nationale Supérieure d’Architecture de Clermont-Ferrand (ENSACF) est l’une des 20 écoles d’architecture françaises dépendant du ministère de la Culture. À la fois très ancrée dans son territoire et ouverte sur le monde, l’ENSACF offre à ses étudiants, plus qu’un lieu d’apprentissage, un lieu de questionnement sur leur futur métier, dans un cadre exceptionnel.
Près de 700 étudiants, 84 enseignants et 40 personnels administratifs se côtoient chaque année à l’ENSACF, dans une ambiance de travail dynamique et stimulante.
Fondée en 1970, l’École nationale supérieure d’architecture de Clermont-Ferrand était installée en centre-ville avant de prendre ses quartiers, en juillet 2015, dans l’ancien hôpital Sabourin, situé sur les Côtes de Chanturgue.
Le bâtiment a été transformé et adapté à ses nouvelles fonctions par le cabinet d’architectes Dubesset-Lyon.
Cet ancrage territorial fait partie des valeurs fortes de l’ENSACF, qui inscrit activement ses actions dans le territoire (local et régional). L’établissement tisse également de nombreux partenariats avec des collectivités locales, des parcs régionaux, des organismes liés à l’architecture, à l’environnement, à la culture.
En termes de formations, l’ENSACF offre un large panel, délivrant les diplômes nationaux en architecture (cycle licence et cycle master avec trois spécialisations au choix) ainsi que l’habilitation à la maîtrise d’œuvre en son nom propre. Les étudiants ont la possibilité de poursuivre en doctorat, ou de choisir l’une des formations spécifiques proposées en collaboration avec Polytech et l’Université Clermont Auvergne.
L’ENSACF est aussi un lieu dédié à la culture architecturale. Ouverte au public, la médiathèque propose un fonds documentaire d’une grande richesse. Une salle d’exposition accueille divers évènements : présentation des travaux d’étudiants, expositions diverses, bistros d’architecture organisés par les associations étudiantes, etc.
Les deux amphithéâtres accueillent des conférences de grande qualité. La maison du directeur de l’ancien Sanatorium de Sabourin est dédiée à l’accueil de résidences pour architectes, cinéastes et artistes.
L’Atelier éphémère est une collaboration unique entre l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Clermont-Ferrand, le centre Camille-Claudel, le Conservatoire Emmanuel-Chabrier de Clermont-Ferrand et l’association Sauve qui peut le court métrage. Cet atelier est dirigé conjointement par les écoles 24 et ARTFX. L’Atelier éphémère relève le défi de créer une synergie fluide entre le processus de tournage, le public et une équipe technique préalablement inconnue, transformant ainsi l’espace en un authentique plateau de cinéma.
Les étudiants devront ainsi collaborer tous ensemble en prenant en compte toutes les composantes d’un film telles que le son, les costumes, le maquillage, la coiffure, les VFX et bien sûr les décors.
Écoles supérieures internationales des métiers du cinéma, des effets spéciaux, de l’animation et du jeu vidéo à Lille, Paris et Montpellier.
1ère école française à former aux VFX, ARTFX a été fondée en 2004 par une équipe de passionnés : les équipes dirigeante et pédagogique, constituées de professionnels issus des métiers du cinéma, des effets visuels, de l’animation et du jeu vidéo, entretiennent des relations privilégiées avec les studios et connaissent parfaitement leurs besoins.
ARTFX est l’une des seules écoles à être encore indépendante et reste ainsi libre de ses choix pédagogiques et du maintien de ses campus à taille humaine.
Cette année en 2024, ARTFX est reconnue par The Rookies : 1ère école au monde en EFFETS SPÉCIAUX : « Visual Effects – Production Excellence » (pour la 6e année consécutive), 3e école au monde en JEUX CONSOLE : « Production Excellence – Console Games », 6e école au monde en ANIMATION 2D, 10e école au monde en ANIMATION 3D, 4e école au monde en EFFETS SPÉCIAUX. ARTFX figure en 15e position dans le classement des Top 50 Creative Schools.
Les projets de fin d’études des étudiants ARTFX font également régulièrement l’objet de sélections par des festivals nationaux et internationaux. Certains ont d’ailleurs été récompensés : en 2024 Silhouette remporte le VES Award dans la catégorie “Effets visuels exceptionnels dans un projet étudiant” ; en 2023, Alaska remporte le prix du Meilleur jeu vidéo étudiant à la cérémonie des Pégases. Nos étudiants comptent également 2 victoires aux VES Awards en 2019 (Terra Nova) et 2022 (Green) ; et 3 Genie Awards du Meilleur film étudiant au PIDS : Paris Images Digital Summit : en 2018 (The Endless), 2021 (Time’s down) et 2022 (Green).
En partant de fragments de corps (en l’occurrence la main dans un premier temps), le travail du DNMADE Animation de Cournon d’Auvergne consistera, au sein de l’Atelier 2025, à générer des sons en adéquation avec une image donnée:
Par exemple quel son associer à un poing fermé? Une main qui claque des doigts, qui court ou des comportements (menace, caresse etc)?
En les associant à des souvenirs, les étudiants vont tenter de convoquer la poésie du film “j’ai perdu mon corps” de Jérémy Clapin tout en s’en inspirant.
Comment un son peut convoquer un souvenir (des lieux, des odeurs, des paysages etc) tout ça au travers de la technique du papier découpé animé accessible à tous.
Contenu et progression de la formation Graphiste et animateur, le titulaire du DN MADE mention cinéma d’animation et matériaux graphiques sera apte à assumer, au niveau européen et international, seul ou au sein d’une équipe, une part des responsabilités artistiques et techniques dans les étapes de conception et de réalisation d’un film d’animation. La formation permet au futur titulaire de maîtriser les langages et techniques d’animations traditionnelles et innovantes et de s’intégrer dans les secteurs d’activité suivants : courts et longs métrages d’animation, effets spéciaux cinématographiques, séries télévisées d’animation, habillages et génériques télévisés, films publicitaires, clips vidéo, mapping et vidjing liés à l’industrie de la musique, communication institutionnelle, documentaires audiovisuels scientifiques et techniques, productions multimédias et jeux vidéo.
La polyvalence des compétences reste un atout majeur dans cette profession : savoir animer, faire bouger un personnage grâce au dessin, savoir manier les outils infographiques, mais aussi savoir travailler le son et approfondir le scénario.
Le travail d’équipe nécessite une adaptabilité aux contraintes, tant techniques qu’artistiques et donc l’apprentissage s’appuie sur l’entraide et l’autonomie de l’étudiant. Le grand nombre de festivals, d’associations et de lieux culturels sur notre territoire constitue le terrain privilégié d’apprentissage technique, professionnel et culturel des étudiants.
La progression permet au fil des semestres de développer deux approches différenciables : une favorisant l’excellence technique permettant à l’étudiant d’entrer dans le monde professionnel et l’autre se focalisant sur le travail d’écriture et de recherche permettant de devenir auteur. A terme, les métiers visés par ce parcours sont : Auteur, Animateur 2D et en volume, Charadesigner, Directeur artistique et motion designer, Scénariste, Designer graphique, Layoutman, Opérateur et directeur de compositing, Assistant réalisateur, Storyboarder, Matte painter, Décorateur…
Atelier musique à l’image
La classe de composition pour l’image du CNSMD de Lyon offrira un aperçu des coulisses du métier de compositeur·trice pour l’image. Cette présentation impliquera la recréation des conditions d’un enregistrement professionnel, incluant l’enregistrement lui-même, le montage et le mixage des compositions musicales. Pour cela, la classe collaborera avec de jeunes instrumentistes du conservatoire, dirigés par Emmanuel Jarousse, un musicien professionnel, afin de créer une expérience immersive et instructive.
Grande école internationale des arts musicaux et chorégraphiques, le Conservatoire national supérieur musique et danse (CNSMD) de Lyon forme avec exigence et passion les interprètes, créateur·trice·s, chercheur·euse·s et enseignant·e·s de demain, s’appuyant sur une dynamique pédagogique innovante portée par des enseignant·e·s de premier plan, attentive aux évolutions de la scène contemporaine et favorisant l’ouverture esthétique, intellectuelle et sociétale de ses étudiant·e·s.
Opérateur de service public, il contribue entre tradition et création, à l’exceptionnelle vivacité artistique française, en donnant à la jeune génération l’espace et les moyens d’épanouir leur talent et inventivité tout en bénéficiant de la richesse culturelle et universitaire du terreau lyonnais depuis plus de 40 ans.
Sauve qui peut le court métrage et Festivals Connexion vous invitent à une expérience cinématographique immersive à travers une sélection d’œuvres en réalité virtuelle, repensant complètement la posture du spectateur, lui permettant de s’immerger totalement dans l’univers du film et de l’explorer à 360°.
Depuis sa conception en 1988, le Département Cinéma de l’ECAL s’adresse à des étudiant·e·s qui se passionnent pour tous les genres du cinéma et de l’image en mouvement (fiction, documentaire, film expérimental, de communication, programme télévisuel, clip et publicité). Si la formation en réalisation – dont l’écriture personnelle – reste centrale, le Département Cinéma de l’ECAL apporte des compétences pluridisciplinaires et étendues dans les différents métiers du cinéma (scénariste, chef.fe-opérateur.ice, monteur.euse, preneur.euse de son…).
Grâce à des cours et des ateliers donnés par des personnalités reconnues de la discipline, les étudiant·e·s se perfectionnent dans des domaines aussi divers que la mise en scène, la direction d’acteurs, l’écriture scénaristique ou encore la production. Des mandats pour des institutions ou des entreprises, leur permettent de se confronter au monde professionnel. Très souvent projetés dans les festivals du monde entier, diffusés sur les chaînes de télévision nationales et étrangères, de nombreux films d’étudiant.e.s sont régulièrement primés. Les étudiant·e·s bénéficient également d’un enseignement théorique et de conférences multidisciplinaires au sein même de l’école.
Création d’un laboratoire autour du son , choisis ta k7 audio ,attrape un stylo bille , du scotch pour faire un retour vers le futur et ouvre grand tes yeux pour créer, triturer ta bande sonore sur pellicule .
Bruno Bouchard est collectionneur de pré-cinéma et intervenant pour les dispositifs d’éducation à l’image. Il a fondé l’association «Le Ciné de Papa » en 2007. Il est l’inventeur du Poubellotrope, une mallette pédagogique consacrée à l’histoire du cinéma. Il réalise des projections de lanternes magiques, des expositions itinérantes sur l’histoire du cinéma, notamment sur André Pierdel, l’accessoiriste de Jacques Tati. Membre et déposant à la Cinémathèque française, il a participé à l’exposition Lanterne magique et flm peint, 400 ans de cinéma à la Cinémathèque française et au Musée du cinéma à Turin.
Réalisateur du court métrage Correspondance Pelliculaire ( Prix mention spéciale du jury au Valletta flm festival 2018 ) il est à l’origine du flm participatif 24 Mensonges par seconde. En 2014, il lance ce projet collectif de grattage sur pellicule 35 mm avec des centaines de participations à partir de segments de 240 images de bandes annonces qu’il fournit. Plus de 2500 personnes dans le monde y ont participé. En 2018 il se lance en duo avec son ami Nikodio dans le live performance scrapscratch.
Le lycée Léonard de Vinci à Monistrol-sur-Loire en Haute-Loire a ouvert ses portes en 1993. Il dispense un enseignement général et technologique ; il a régulièrement été classé parmi les meilleurs lycées de l’académie de Clermont-Ferrand avec un très fort taux de réussite au baccalauréat. Comptant à peine plus de 400 élèves à sa création, le lycée Léonard-de-Vinci a aujourd’hui près de 1000 élèves de la seconde à la terminale avec une section BTS. Son offre de formation étendue se caractérise par un grand choix d’options artistiques comme les arts plastiques, le théâtre ou encore le cinéma. D”autres options sont aussi proposées aux élèves. Enfin le Lycée Léonard de Vinci offre une chaîne de télévision lycéenne qui diffuse en hertzien et sur Youtube, LDVMEDIA. Cette chaîne conventionnée par le CSA est ouverte à tous et à toutes. C’est un dispositif unique en France et un outil pédagogique de premier plan.
Le Proviseur du lycée est depuis 2017 David GAY.
La création de l’OPTION FACULTATIVE CAV aujourd’hui OPCINÉ au LYCÉE LÉONARD DE VINCI remonte à 2005 quasi en même temps que notre chaîne locale de télévision lycéenne LDVTV en 2006.
L’Option Cinéma du lycée Léonard de Vinci a été mise en place par un enseignant, R. Mendola. L’Option est aujourd’hui intégrée à un Pôle multimédia très actif du lycée Léonard de Vinci à Monistrol-sur-Loire en Haute-Loire. Il comprend une radio COSMIC FM, une chaîne de télévision lycéenne émettant en hertzien et visible sur le numérique – chaîne Youtube – et une Option Cinéma facultative.
La chaîne LDVMEDIA a été impulsée en 2006 sous le nom de LDVTV par le Proviseur Alain Mattone et 2 enseignants de l’Option Cinéma : Raphaël Mendola, fondateur de l’option et Gilles Robert. Les corrigés du baccalauréat une heure après l’ouverture des sujets étaient alors les premiers contenus de programmation de LDVTV.
Remarqués par son dynamisme, la chaîne lycéenne a alors été conventionnée par le CSA et a obtenu un canal de diffusion sur le réseau hertzien local en 2012. Notre interlocuteur était Madame Mémona Hintermann-Afféjée qui a beaucoup aidé notre développement C’est Monsieur le conseiller, Hérvé Godechot qui lui a succédé aujourd’hui.
Pour retrouver un second souffle, la chaîne a été restructurée dans son organisation en 2015. Raphaël Mendola est en charge de sa ligne éditoriale, Frédéric Florin est responsable des réalisations et William Poquet, partenaire professionnel de l’Option de la Programmation. Benjamin Teyssier travaille à mi-temps sur le pôle multimédia et réalise de nombreux reportages, montages et mises en ligne.
Aujourd’hui la chaîne rebaptisée LDVMEDIA repose sur l’implication pérenne de deux enseignants R. Mendola et F. Florin.
Le cinéma, le pédagogique et l’artistique de manière plus générique trouvent toute leur place dans la programmation de la chaîne mais sont appelés à se développer encore avec des productions qui dépassent le cadre du lycée.
En effet, LDVMEDIA permet à tous les collèges et écoles du bassin de littéralement traverser l’écran dans des expériences pédagogiques riches et variées grâce à son organe de production l’E-medi@ créé et dirigé par F. Florin. De son côté, L’Option Cinéma est à l’origine du Webmagazine du Festival de Clermont Côté Court qui a succédé à l’émission Vu en Court.
HEAD – Genève
Bruitage
Plongez dans l’univers fascinant du son au cinéma avec notre atelier de bruitage qui vous offrira une expérience immersive et créative !
Vous apprendrez à créer des effets sonores à partir d’objets du quotidien, à enregistrer des sons d’ambiance, à utiliser des logiciels de montage, et à comprendre le rôle crucial du son dans la narration cinématographique.
Encadré par des étudiant·e·x·s de Bachelor et des spécialistes du son de HEAD Cinéma, cet atelier vous permettra de créer le bruitage de plusieurs films tournés avec la légendaire caméra Bolex lors d’un atelier avec la réalisatrice Marie Losier.Rejoignez-nous pour une aventure sonore captivante, et laissez libre cours à votre imagination !
Depuis 50 ans, le Cinéma est enseigné à Genève avec une formation professionnalisante en Bachelor et en Master. En Bachelor, les étudiant·e·x·s découvrent la diversité des écritures cinématographiques, entre documentaire, fiction, série et clip. Le programme favorise la prise de risque formelle et encourage l’exploration des zones d’hybridations entre les genres, tout en mettant l’accent sur la réalisation de films en prise avec le monde actuel. Les étudiant·e·x·s apprennent à maîtriser les techniques de prise de vue, de son, de montage, de production et de postproduction. L’enseignement se base sur un environnement de cocréation et encourage le collectif. Par ailleurs, les étudiant·e·x·s cultivent leur regard et leur esprit critique à travers des cours théoriques. Un accompagnement dans la diffusion des films et le milieu professionnel s’ajoute à la formation dès le Bachelor.
La première année comprend des pratiques du son et de l’image, de l’archive et de la lumière (extérieur et studio). Les enseignements en ateliers initient les étudiant·e·x·s à la création cinématographique grâce aux apports de réalisateur·trice·x·s et de technicien·ne·x·s de renommée internationale.
La deuxième année permet d’approfondir les apprentissages techniques et mener à bout deux films : l’un de fiction sur des lieux de proximité, l’autre au cours d’un Grand Atelier qui propose la découverte d’un nouveau territoire, accompagné par un·e·x cinéaste local·e·x de renom.
À partir de la troisième année, les étudiant·e·x·s choisissent entre les options Réalisation, Montage, Image ou Son. La troisième année est consacrée à la réalisation du projet de diplôme, qui comprend un film et un travail théorique. La collaboration entre les étudiant·e·x·s des différentes options se poursuit par la formation d’équipes de tournage, montage et postproduction. En parallèle, les étudiant·e·x·s préparent un dossier de production et ont l’occasion de pitcher leurs projets devant des producteur·ice·x·s professionnel·le·x·s.
Les films de Bachelor HEAD Cinéma sont présentés dans de nombreux festivals internationaux et remportent régulièrement des prix prestigieux.
Le Département Cinéma de la HEAD – Genève (Haute école d’art et de design) propose une formation Bachelor en Cinéma de 3 ans et une formation Master de 2 ans, en collaboration avec l’ECAL.
Le Master Cinéma est un programme conjoint HEAD/ECAL et offre une formation qui permet de développer une vision cinématographique personnelle, avec des spécialisations en Réalisation, Scénario, Montage, Son ou Production. La formation permet de comprendre le processus de fabrication d’un film et d’en saisir les dimensions de production afin d’ouvrir en fin de parcours les voies d’une intégration dans les milieux professionnels, tels sont les principaux objectifs de ce programme. Cette formation Master, unique en Europe, s’adresse ainsi à des personnes titulaires d’un Bachelor ou d’une expérience équivalente.
Grâce à des cours et des ateliers donnés par des intervenant·e·x·s reconnu·e·x·s dans chaque spécialisation, les étudiant·e·x·s développent un projet personnel. Pour le diplôme, iels participent notamment à l’élaboration (réalisation, écriture, montage, son, image ou production) d’un court, moyen ou d’un long métrage selon la spécialisation. Les films connaissent ensuite une circulation internationale dans des festivals de renom et des diffusions en télévision et plateformes internationales.
Ce Master propose de nombreuses collaborations avec l’Université de Lausanne (UNIL), l’Université de Zurich (UZH), la Haute Ecole d’art de Zurich (ZHDK), ainsi que la Cinémathèque suisse à Lausanne, la RTS, la Manufacture/Haute Ecole de Théâtre de Suisse Romande à Lausanne, la Haute école de Musique de Lausanne et l’Institut littéraire suisse de Bienne.
De nombreuses et nombreux intervenant·e·x·s viennent chaque année donner des ateliers ou des masterclass en Bachelor et en Master à la HEAD – Genève, en plus de l’équipe pédagogique en place :
Kamal Aljafari, Khalik Allah, Raed Andoni, Claire Atherton, Marine Atlan, Kenza Barrah, Antoine Barraud, Stéphane Batut, Frank Beauvais, Yaël Bitton, Félix Blume, Céline Bozon, Iris Brey, Jean-Stéphane Bron, Anne Brouillet, Leos Carax, Patric Chiha, Marine Chiu, Philippe Ciompi, Ael Dallier Vega, Alice Diop, Xavier Dolan, Pauline Doméjan, Farah Clémentine Dramani-Issifou, Ava Duvernay, Hassen Ferhani, Andreas Fontana, Jan Gassmann, Amandine Gay, Alain Gomis, Yann Gonzalez, Pascale Granel, Elie Grappe, Lilith Grasmug, Blaise Harrison, Tatiana Huezo, Carlos Ibañez-Diaz, Kaya Inan, Carmen Jaquier, Kirsten Johnson, Radu Jude, Stéphane Kuthy, Philippe Lacôte, Rachel Lang, Xavier Lavorel, Oliver Laxe, Julie Lecoustre, Raphaël Lefèvre, Danielle Lessovitz, Colin Levêque, Sébastien Lifshitz, Mariano Llinas, Marie Losier, Elina Löwensohn, Eléonore Mallo, Bertrand Mandico, Emmanuel Marre, Claire Mathon, Elene Naveriani, Catherine Paillé, Caroline Poggi, Jean-Gabriel Périot, Carlos Reygadas, Ben Rivers, João Pedro Rodrigues, Mélia Roger, Alice Rohrwascher, Sonia Rossier, Antoine Russbach, Florian Sanson, Patrick Tresch, Nathalie Vidal, Jonathan Vinel, Alice Winocour, Rui Xavier, Apichatpong Weerasethakul.
Equipe du Département Cinéma :
Bertrand Bacqué, Basil Da Cunha, Mathis Damour, Rafaela Gerhard, Yael Golan, Maryam Goormaghtigh, Anita Hugi, Delphine Jeanneret, Cathy Lopez, Alberto Menacho Martin, Antoine Scalese,Vuk Vukmanovic, Lorin Wüscher, Olivier Zuchuat.
École Française de Communication, d’Audiovisuel et de Marketing
Pendant le festival, nos étudiants de deuxième année en option Métiers du Son participeront à l’atelier du court-métrage, école éphémère du court-métrage en tant qu’opérateur de prises de sons sur les tournages des écoles de cinéma Ecole Vingtquatre et de Kourtrajmé.
En parallèle, les étudiants de deuxième année des options Métiers de l’Image et Montage Post-Production réaliseront une série de reportage sur l’ensemble de l’édition 2025, en relation avec le service communication du Festival.
Ces reportages seront montés devant le public de l’atelier afin de permettre aux visiteurs de découvrir cette facette de l’Audiovisuel.
L’Ecole Française de Communication, d’Audiovisuel et de Marketing est née il y a 15 ans d’un constat : un manque crucial de techniciens professionnels directement opérationnels sur le marché.
Implantée à Riom (63) et à Grasse (06), ces établissements forment ainsi des bacheliers de tous les cursus, aux métiers de l’Image, du Son et du Montage Post-Production, grâce à son diplôme d’État Bac+2 : le BTS Métiers de l’Audiovisuel.
Pour être en adéquation permanente avec les besoins de la profession. L’EFCAM met à la disposition des étudiants du matériel Haut de Gamme et toujours à la pointe de la technologie comme des caméras 4k, des stations de montage Media Composer ou encore un studio d’enregistrement Dolby Atmos certifié directement par la marque Dolby Labs référence absolue dans le domaine du cinéma.
La formation technique est dispensée en petits groupes pour que chacun de nos étudiants puissent manipuler régulièrement ce matériel afin de progresser rapidement.
L’encadrement technique est dispensé exclusivement par des professionnels en activité au niveau local, qu’ils soient intermittents techniques, ingénieur son, opérateur de prises de vues, monteur truquiste ou réalisateur.
Ils ont aussi l’opportunité de pouvoir côtoyer des professionnels à la renommée nationale et internationale lors de workshops aux thématiques spécifiques.
Il est important que nos étudiants soient formés aux réalités du terrain. C’est pour cela que tout au long de l’année, des projets concrets sont réalisés avec des partenaires extérieurs, pour apprendre à s’adapter, anticiper, préparer les tournages et répondre à des exigences professionnelles variées.
La formation par le projet est un des leitmotivs de l’EFCAM.
Les sections Coiffure du Lycée des métiers Gergovie de Clermont-Ferrand participent une nouvelle fois à L’Atelier-École éphémère du Cinéma 2024 avec des élèves de l’école d’esthétique Fournier
Préparant les élèves aux diplômes de CAP, mentions complémentaires, BP et Bac Pro des métiers de la Coiffure, le lycée ambitionne, par sa participation au volet pédagogique du Festival du court métrage, de souligner le lien professionnalisant avec les métiers du cinéma, de permettre aux lycéens de les découvrir et de valoriser leurs compétences.
La rencontre des divers participants, la découverte de l’organisation d’une production, la participation à un projet commun, les liens avec les étudiants d’autres écoles sont des éléments très riches et toujours très attendus par les lycéens.
Inspirés par le cinéma et quelques films significatifs, les lycéens ont mis au point les coiffures (mood board, esquisses et dessins préparatoires). Ils ont coiffé, préparé et accessoirisé leurs modèles.
Le nouveau lycée professionnel, baptisé lycée Gergovie, a pris le relais des lycées Camille Claudel et Marie Curie.
Il a accueilli en cette rentrée de septembre 2023 :
un millier d’élèves dans des filières porteuses d’emplois : CAP, Bac Pro et BTS sur les métiers de l’environnement, des transitions numérique et énergétique, de la sécurité, de l’esthétique, de la coiffure, des soins et services à la personne, de l’enfance et des personnes âgées.
120 enseignants, 30 agents techniques et territoriaux, 15 personnels administratifs.
Les déménagements ont eu lieu dès fin juin et pendant tout l’été 2022, ainsi que les travaux de finition. Les plateaux techniques sont de grande qualité et correspondent au travail collectif et collaboratif de l’ensemble des personnels des 2 anciens lycées qui ont participé à la conception des ateliers professionnels.